Gribouillages inspirants

Dimanche soir, suite à mes réflexions, je cherchais le moyen de me changer les idées. 

J’avais un bloc de 30 minutes devant moi, en attendant d’aller coucher les enfants. 

J’ai repensé aux crayons de bois à aquarelle que j’avais achetés une semaine plus tôt. Ainsi qu’à la tablette de papiers…

Et puis, pourquoi pas ?  Intimidée une bonne minute par la feuille blanche qui était devant moi, j’ai commencé à faire des vagues.  Mon dernier cours d’arts plastiques remonte à mon secondaire 1, mais peu importe, tout le monde est capable de prendre un crayon et de gribouiller. Dessiner par pur plaisir, sans crainte d’être jugée.

J’ai pris le pinceau ensuite pour donner l’effet d’aquarelle.  Les yeux d’une jeune fille de six ans et demi s’arrêtent, sont fascinés par la magie qui opère.

Après quelques minutes, le papier est redevenu sec. Et si j’écrivais… puis spontanément, cette phrase est apparue.


Très à propos, cette pensée… Sophie m’a demandé ce que cela signifiait. Elle m’a demandé de l’afficher dans sa chambre.

Une belle fin de soirée, qui me procura du calme, de l’apaisement.