On a l'image de quelqu'un qui attend dans une salle, avec un vieux numéro de Châtelaine. À l'appel de son nom, cette personne entre dans un bureau et discute avec un professionnel de la santé. Mais... d'ici au moment où on est dans cette fameuse salle d'attente, il faut user de beaucoup de stratégies, d'organisation et de persévérance.
1- Noter sur le calendrier non pas le jour du rendez-vous, mais le jour où tu prendras le rendez-vous. Vive la recomposition automatique et les téléphones cellulaires pour accéder rapidement à la secrétaire.
2- Ensuite, un autre moyen est de téléphoner de temps en temps à la secrétaire pour savoir si l'horaire est disponible. Comme pour toutes les occasions, il faut être courtois car je pense que les gens gentils sont favorisés dans la vie.
3- Une nouvelle manière que je suis en train de découvrir est de magasiner un spécialiste sur internet et les pages jaunes. Ensuite, on laisse des messages ou des courriels. Puis on attend. La suite ? Je vous le ferai savoir...
Si vous êtes curieux, le moyen #1 était pour consulter un dermatologue, le #2 un allergologue et le #3, un orthophoniste.
Pour ma part, avec le médecin de famille de mon fils, je dois utiliser ton moyen #2 et être très assidue, parce que même si la secrétaire me dit qu'il est sur la liste pour la semaine X, si je ne téléphone pas régulièrement, il arrive que son nom disparaisse de la liste avant qu'il n'aie son rendez-vous...
RépondreEffacerJe trouve parfois que la façon de fonctionner des secrétaires de cette clinique est très anarchique.
Ça détonne beaucoup avec le fonctionnement de la clinique privée où je suis allée une fois (en juillet dernier).
RépondreEffacerIl y avait une centrale d'appels qui fonctionne 24 heures par jour (j'avais été très surprise d'entendre parler quelqu'un quand j'avais appelé à 7h30 le matin, pour savoir à quelle heure rejoindre la secrétaire!!). Évidemment il y avait beaucoup de disponibilités...
C'est effectivement devenu un parcours du combattant. Ça n'a plus de sens et on contineu de verser des sommes astronomiques en taxes de tout acabit. Bon courage!
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