Je pourrais commencer cette entrée comme celle des articles de Nathalie Petrowski ou bien Marc Cassivi. Je n'y arriverai pas, mais ça pourrait bien ressembler à cela.
C'est au Café Lézard, dans Rosemont-Petite Patrie, que la journaliste-pigiste Cécile Gladel m'avait donné rendez-vous. Elle s'assoit à table une dizaine de minutes après mon arrivée, après avoir sans doute trouvé un espace de stationnement pour... son vélo, bien sûr !
Bon, vous avez compris que je ne serai pas capable de soutenir ce style d'écriture jusqu'à la fin de mon billet.
Cela fait un an que je connais Cécile. Elle m'a téléphoné en juin dernier lorsqu'elle portait le chapeau de recherchiste pour l'émission Agir pour demain. Puis en octobre, pour un article dans La Presse (j'en avais déjà d'ailleurs parlé ici). Nous nous échangeons sporadiquement des courriels et je suis une assidue de son blogue.
C'est un sentiment très particulier de rencontrer quelqu'un avec qui nous n'entretenions que des contacts virtuels. Comme si on se connaissait sans se connaître vraiment. Et c'est comme cela qu'on peut passer deux heures à placoter d'environnement, de blogues, de projets pour terminer l'année 2008.
Deux heures qui sont passées très vite, je trouve.
Isabelle, tu as tout à fait raison...se connaître sans se connaître ;) Mais j'avais vraiment l'impression de t'avoir déjà vu ;)
RépondreEffacerTu vois, ça a passé vite, trop vite car je n'ai pas vu le temps comme toujours.
au plaisir d'une autre rencontre !