Hier, pendant mon heure de dîner, je suis allée au Marché acheter deux caisses de tomates. Une quarantaine de livres.
C'est ce matin que j'attaquais cette dernière journée de conserves de la saison.
J'en arrive aux conclusions suivantes :
1- à une c'est bien, à deux c'est mieux : je m'ennuyais de la camaraderie, de l'entraide et franchement, j'en avais marre à la fin de préparer mes tomates.
2- l'an prochain, j'aurai un moulin à tomates. Si je peux sauver des heures et plusieurs étapes, je vais le faire.
3- pour mon chaudron, des pots d'un litre, c'est trop gros. L'eau arrivait à ras bord du chaudron et je vous laisse imaginer les dégâts. Je vivrai très bien avec des pots de 500ml, même si j'ai à en faire davantage pour arriver au même résultat.
4- j'ai déjà hâte à la saison 2007 des conserves et j'essaierai d'autres recettes. J'aurai l'hiver pour en rêver...
Je connais un endroit où on chuchote des suggestions avant d'acheter le matériel de base.
RépondreEffacerÇa peut même devenir sérieux, voir obsessif.
Beau cas ! (ç;
C'est exactement le stérilisateur que j'ai acheté, il fait une trentaine de litres.
RépondreEffacerCe matin, il y avait cinq pots d'un litre et quand l'eau en ébullition était à un pouce au-dessus des couvercles, l'eau débordait en dehors du couvercle.
Et ne t'inquiète pas pour ton blogue; ça a été mon point de départ quand j'ai décidé de me plonger dans le cannage.
Alors je deviens vieux. :(
RépondreEffacerCelui que j'ai fait juste, mais il va bien.
Puis, j'utilise d'habitude des chaudrons plus gros.
Il va falloir que je révise le marché de plus près. Surtout si ça pointe vers de mauvaises solutions d'achats.
Merci Isabelle, et désolé, sincèrement.
Ça fait juste, comme tu dis...
RépondreEffacerDans mon monde de rêve de cannage, j'aurais deux stérilisateurs (car attendre 40 minutes + le temps de faire bouillir les autres pots, c'est long!), mon moulin pour les tomates et je travaillerais toujours en équipe.
En 2006, j'avais trois défis : faire des beignes cuits dans l'huile (j'avais une sacro-sainte peur de l'huile qui chauffe), faire des sushis (j'avais la trouille et l'inquiétude de manquer mon coup) et finalement, essayer de faire des conserves. Tout ce qui entourait la stérilisation, la conservation et la qualité de la nourriture, ça m'inquiétait.
Puis quand je suis tombée sur ton site, j'ai bien apprécié lire les questions-réponses, la liste des choses à avoir, les nombreuses recettes. Tu as répondu à plusieurs de mes questions et franchement, j'ai apprécié ce mentorat virtuel pour ma première saison. Merci beaucoup.