26 mars 2013

Voir clair

Ce soir, après avoir couché les enfants et fait une courte visite à la bibliothèque municipale, j'ai relu mon billet sur mon mot-phare 2013.

Les moments où je suis seule sont rares: lors du voyagement pour aller et revenir du travail, ça se résume à grosso modo 50 minutes par jour.  De plus, mon esprit est la plupart du temps accaparé par diverses listes et préoccupations.

En ayant ce soir un moment pendant lequel je pouvais cesser de «jouer à la mère», j'ai erré dans les allées de la bibliothèque.  Je regardais vaguement les titres de livres (et notai mentalement les titres de romans que j'aimerais lire dans un avenir plus ou moins éloigné!), pensant à toutes sortes de petits détails de mon quotidien et tracasseries qui m'empêchaient de pouvoir avancer.



Là, dans les rayons, j'ai pris le temps de me dire que je prenais les bonnes décisions. Les solutions auxquelles je réfléchis pour enlever mes tracas ? Elles sont les bonnes.

À l'ère où chaque page web que l'on visite nous inonde de contenu pour nous rendre «mieux» (cuisiner, rêver, voyager, éduquer, etc.), je chéris mes moments en solo pour voir le plan de match qui me convient le mieux. Déconnectée d'internet, mais connectée sur ma réalité.

1 commentaire:

  1. Pareil ici!

    On m'a fait la remarque cette semaine que je pouvais avoir un meilleur emploi, j'ai répondu qu'il me convenait totalement et qu'il me permettait d'avoir plus de temps pour ma famille et ce qui compte vraiment.

    RépondreEffacer