Ok. En relisant un billet précédent, je me trouve bien naïve. Après seulement quatre journées dans la réalité de la double fréquentation d’une école, hier soir, j’ai constaté que ça ne fonctionne pas et que c’est plutôt le contraire qui se passe. Au moins deux fois j’ai terminé les lunchs à l’heure du premier Téléjournal et une troisième, ça a été un demi-marathon pour terminer à temps… le matin même.
Si la stratégie de planifier les soupers fonctionne, je vais devoir appliquer le même remède pour les lunchs.
Cette semaine, je vais réserver un coin du frigo pour les lunchs. Je vais préparer les jus dans les boîtes à jus, des fruits et du fromage pour les collations de classe. Je m’aperçois que je travaille à une échelle artisane alors que je dois fonctionner comme une mini PME.
Le bon côté de la chose, c’est l’attitude que j’ai adoptée. Je n’ai pas généralisé cette désorganisation, je n’ai pas entrevu un sombre avenir pour les 175 lunchs restants de l’année. J’imagine une mère qui doit faire trois lunchs lire ce message, avec un sourire en coin. Je me console en disant que si c’est la pire chose qui me soit arrivée cette semaine, c’est bien peu.
on doit finir par s'ajuster! on apprend de nos erreurs aussi...
RépondreEffacerdis-toi que ça aurait pu être pire: tu aurais pu manquer une marche et te faire une méga-entorse... tsé comme une certaine fille qui est à 10 semaines d'accueillir son 3e...
;-P
oh oui, ça aurait été vraiment pire !
RépondreEffacerJe lis toute ta saga de la rentrée (étiquetage, lunchs...) avidement... ton expérience va me servir dans quelques années ;-)
RépondreEffacerMoi aussi je prends des notes (même si je n'oserais jamais espérer être aussi organisée que toi :) )
RépondreEffacerComme je prépare 4 ou 5 lunchs par jour, je m'organise pour prendre un peu d'avance durant la fin de semaine. De plus, ce qui me facilite beaucoup la tâche c'est d'inclure les lunchs au menu de la semaine. Comme ça je n'ai pas à me casser la tête à tous les jours pour savoir quoi préparer.
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