23 avril 2009

la balance écolo

Imaginez une balance. D'un côté, vous mettez l'annonce de Loblaws de faire payer ses sacs 5¢ l'unité pour réduire leur utilisation.

De l'autre, vous ajoutez cette nouvelle.

Dans une ville comme ici, où je retrouve quatre épiceries dans un rayon de deux kilomètres, je ferai le choix d'aller à une bannière qui fait affaire avec des producteurs locaux.

3 commentaires:

  1. je n'encourage pas ce genre de pratique des épiceries....
    les fraises Rivest sont succulentes, la mayonnaise Poirier tout autant.. et fort probablement tous les produits retirés..

    et bien meilleur, souvent pour la santé, que ces foutus produits commerciaux produits à la chaîne par milliers par des entreprises trop riches qui bourrent leurs aliments de cochonneries pour en diminuer le coût de production, augmenter la longévité, améliorer la couleur, bla bla bla....

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  2. Ici je vais cueillir mes fraises ou acheter les Belisle (de St-Eustache).

    On ne connait pas beaucoup la provenance des choses que l'on achète et c'est dommage.

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  3. Je suis contente que tu parles de cet article qui m'a aussi accroché...

    Comme toi, je suis contente d'avoir aussi plusieurs bannières et commerces indépendants (fruiterie, magasin d'aliments naturels...) près de mes chez-moi* actuel et futur. Je pourrai ainsi favoriser les magasins pratiquant le vrai achat local, pas juste la publicité accée sur l'achat local...

    *Note à la prof de français: aurais-je dû écrire un "s"? ;-)

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