Quand arrive le temps de louer des films au magasin, j'élimine tout ce qui est dans la catégorie : horreur, top-violence, science-fiction. J'aime bien les films comiques, à saveur historique.
La visite de l'acteur Bruno Ganz au Festival des Films de Montréal m'a rappelé que je n'avais pas loué ce film à sa sortie, alors je l'ai apporté à la maison le weekend dernier et c'est hier soir que je l'ai écouté (tout en travaillant sur le portable en même temps).
Je suis une bien piètre critique de films. Je me suis laissée emporter dans la tourmente de la deuxième guerre mondiale, que je n'avais pas souvent abordé de la perspective des allemands. J'étais à la fois bouleversée, émue, choquée, en colère, bouche bée.
C'est étonnant que je n'aie pas fait de cauchemars la nuit dernière. Toutes ces images d'horreur étaient la réalité de ces peuples touchés par la guerre, d'une population qui avait cru à un rêve porté par un fou mais qui dut passer la fin du siècle à panser ses plaies.
Et moi, ça me donne le goût d'aller relire mes notes de cours d'histoire contemporaine. Ou même ouvrir les journaux pour voir à quel point le monde ne change pas tant que ça...
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