Cet après-midi, il y a eu confusion lorsque je suis allée chercher Sophie. La note écrite n'est pas parvenue à l'éducatrice, donc au lieu de descendre avec les élèves marcheurs à la fin de la journée, l'éducatrice lui a demandé de rester en haut avec les autres enfants au service de garde. Sauf que Sophie avait vu le mot ce matin. Qu'elle savait que je l'attendais dehors...
Quand je l'ai vue arriver au vestiaire, vous auriez dû lui voir l'air. Déconstruite, dépaysée, sans repères... et en pleurs.
Elle m'a raconté l'histoire, on a vérifié dans le sac pour voir si le mot s'y trouvait (non)... après cinq minutes, le gros de la crise était passé.
Et à ce moment-là, presque coup sur coup, sont arrivées une enseignante de 1ère année et l'éducatrice du service de garde de Sophie. Lui expliquer ce qui s'est passé, la réconforter... Éduquer, enseigner, ça ne se passe pas seulement devant un tableau. C'est une belle marque d'empathie et de douceur qu'a reçu Sophie de la part de deux personnes signifiantes dans sa vie.
Ouf! Tout est bien qui fini bien finalement. Pauvre Sophie, Ça dû être un gros stress pour elle.
RépondreEffacerJe peux tellement imaginer comment elle a dû se sentir ! Je me souviens encore de la 1re fois où j'ai pris l'autobus scolaire pour rentrer à la maison et que la conductrice n'avait pas eu l'info, ni mon adresse...Je m'en souviens comme si c'était hier. Un gros stress !
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