... et je n'ai pas peur de passer pour une fille qui n'a pas de vie ou qui veut manger du Jello trois couleurs (voir la chronique de Marie-Claude Lortie). En fait, je serais plutôt du type à fabriquer à la maison du jello avec du jus de fruits et de la gélatine neutre mais ça, c'est une autre histoire... Je suis en mesure de voir que je ne peux pas généraliser sur les préférences d'une génération.
Quand Passe-Partout se terminait, à 18h30, on retournait jouer à nos Lego et nos puzzles. Maintenant, on dirait que chaque émission arrive avec son lots de produits dérivés. En fait, l'émission fait vendre les produits dérivés.
Nostalgique des années de ma jeunesse ? je ne sais pas trop. Je suis bien trop heureuse à vivre présentement. Serai-je un jour nostalgique de la trentaine ? ça aussi, c'est à voir !
et tu seras heureuse en septembre 2007 avec le livre de Steve Proulx sur Passe-partout. Il va en parler à Christiane Charette lundi et dans plusieurs autres médias qu'il m'a dit
RépondreEffacerOui, ça avait piqué ma curiosité lorsqu'il avait mentionné le livre sur son blogue.
RépondreEffacerC'est très bizarre pour moi de voir toute l'analyse qui est faite de cette émission alors qu'après tout, moi, j'étais très fascinée à 4-5 ans de voir un p'tit gars se laver les cheveux tout seul dans son bain et de me demander pourquoi la guignolée ne passait pas chez nous (alors que Passe-Partout et des enfants la passait à Montréal...).
Ce qui est fantastique de l'émission, c'est qu'il n'y a rien de magique ou d'effets spéciaux, mais que cela faisait "spinner" mon imagination comme pas d'autres émissions que j'écoutais à l'époque.