Il y a de ces jours, de ces semaines, de ces périodes qui sont plus mouvementées et qui mettent à rude épreuve tout ce qui nous compose, qui fragilisent nos fondations.
Par respect pour moi-même, mon conjoint, mes enfants, j'entre peu dans les détails de notre vie familiale.
Il y a des défis, vous en connaissez certains, certains s'ajoutent, d'autres se maintiennent. Et en général, ceux-ci réussissent à passer en seconde place, derrière les beaux moments que j'affiche souvent sur mon blogue.
Par contre, il faut parfois accepter d'encaisser. De ne pas dissimuler des signes de fatigue ou d'épuisement pour réaliser qu'il faut s'en préoccuper.
Et alors que la vie, elle, continue, je garde contact avec mes amis.
Ils sont 145, à ce jour, qui me donnent quotidiennement des nouvelles sur Facebook. Et avec lesquels je partage mon quotidien.
Comme cette photo de François, prise hier.
En revenant lire mon fil de nouvelles avant d'éteindre l'ordinateur pour la nuit, tous les petits clics «J'aime», tous les mots laissés en commentaires (allez, avouez qu'entre François et Linus il y a toute une ressemblance...) ont fait une différence.
À la veille de la Saint-Valentin, je prends le temps de réaliser à quel point je suis choyée d'être bien entourée, que ça soit dans mon quotidien ou au virtuel, par des personnes qui sont tout aussi importantes pour toi.
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